Le départ prochain du responsable de l’Office du personnel enseignant (OPES) semble avoir réveillé l’appétit du Service du personnel de l’Etat de Vaud pour faire « main basse » sur cet office gérée actuellement par le DFJC. La SPV estime qu’une telle décision serait une grave erreur avec des conséquences clairement négatives pour les enseignants vaudois. La SPV a pris contact avec des députés pour que le sujet soit traité au Grand Conseil. Une interpellation a été déposée le mardi 22 novembre par le député Fabrice De Icco.